top of page
B/ Le D3O, plus pratique et plus performant que ses prédécesseurs.

           Grâce à la souplesse de ce matériau des parties du corps comme les chevilles, les poignets, les mains et les coudes peuvent être protégées, ce qui n'était pas réalisable avec d’autres moyens de protection. En effet le D3O a permis d’énormes progrès notamment dans la protection du dos, tout au long de la colonne vertébrale, partie vitale et très exposée lors d’une chute, pourtant négligée dans les anciens moyens de protection. Cette protection sous forme de plaque souple orange que l’on glisse sous les vêtements facilite les mouvements des sportifs, et son poids plume ne gène en rien la mobilité de leurs utilisateurs. Les protections issues de la technologie D3O sont en moyenne  50% plus fines qu’une coque traditionnelle ce qui facilite les mouvements du sportif. Ces protections sont donc plus pratiques et plus fonctionnelles que ses prédécesseurs.

          

Ce diagramme est un comparatif  de la restitution de 20 joules d'énergie à travers les diffèrentes protections.

Nous pouvons constater que malgré leur epaisseur moins importante que les autres protections, les protections D3O absorbent jusqu'à deux fois plus d'énergie que les protections telles que EVA ou les protections néoprène.  

 

Ainsi une plaque de 7mm de D3O aura une capacité d’absorption d’un impact 2 fois supérieure à celle  de la protection PE foam de 14mm et d’une plaque de mousse de 12mm.

 

D3o.com

 

         Le D3O présente également un autre avantage,en effet revenant à sa forme initiale en 10 millisecondes, il permet des impacts successifs rapprochés, alors que les autres protections reviennent à leur forme initiale en 2 ou 3 secondes.

 

          

 

            Les protections D3O ont passé des tests dans des laboratoires pour pouvoir obtenir l’homologation européenne :

 

 

                                                              -EN 1621-1 pour les protections épaules/coudes/hanches/genoux

 

 

               "Afin d'être homologuées au niveau 1, les protections doivent subir 12 impacts de 50 Joules (en pratique, on lâche un poids de 5 kg depuis une hauteur de 1 mètre) qui ne doivent pas laisser en moyenne plus de 35kN de force résiduelle, avec un pic autorisé sur un des impacts jusqu'à 50 kN.

               Pour être homologuées niveau 2 les équipements doivent obtenir une énergie résiduelle moyenne de 20 kN, avec des pics à 35 kN. Les tests ont également lieu en conditions modifiées (chaud, froid, humide, ...)."

Les protections D3O présentant une force transmise de 12, 5 kN en air ambiant, obtiennent la meilleure note de cette catégorie de produits, alors que la force transmise pour certains autres est de 22 kN.

 

               Après ces tests concluants, les protections D3O épaules/coudes/hanches/genoux ont donc été homologuées EN 1621-1 qui correspond aux « Vêtements de protection contre les chocs mécaniques pour motocyclistes - Partie 1 : protecteurs contre les chocs sur les articulations pour motocyclistes - Exigences et méthodes d'essai » homologation publiée en 1997.

 

 

                                                                                   -EN 1621-2 pour les protections dorsales

 

 

              Les protections dorsales doivent subir 5 impacts de 50 Joules, dont 2 au niveau des jointures, endroit ayant le plus de faiblesse. Là aussi, les tests se feront en environnement contrôlé, puis modifié (températures, humidité).

 

"Pour être homologuées:

Niveau 1, la force résiduelle moyenne doit être inférieure à 18 kN, avec un impact autorisé jusqu'à 24 kN.

Niveau 2, la force résiduelle moyenne doit être inférieure à 9 kN, avec un impact autorisé jusqu'à 12 kN."

 

           Les protections dorsales D3O ont passé les tests avec brio et ont même obtenu le niveau 2.

 

 

En conclusion, les protections D3O sont plus pratiques et plus efficaces que les protections en mousse et en plastique.

bottom of page